L’expérience montre combien la collaboration est plus puissante quand on casse les codes, quand on modifie nos modes de relation ou nos manières de faire – à condition de le faire à bon escient ! En voici une illustration concrète.
On n’aurait jamais osé !
A la fin du premier atelier, mon client s’approche de moi et me dit « Appeler notre président par son prénom, on n’aurait jamais osé ! »
Les membres de cette commission ne s’étaient pas encore rencontrés et j’avais donc champ libre pour créer la dynamique de groupe. Si vous me connaissez, vous vous doutez que je ne me suis pas encombré des conventions.
Chacun colle sur sa poitrine un simple ruban adhésif avec son prénom et l’atelier peut commencer.
Je donne les consignes et les participants entrent en interaction avec légèreté. Les questions mi-pro, mi-perso, les suggestions en lien avec le thème du jour ou complètement décalées suscitent une ambiance bon enfant.
Une cause commune
Président ? Élu ? Chef d’entreprise ? Militant associatif ? Technicien ? Commerçant ? Tous sont là pour la même cause ! Autant s’affranchir des codes habituels, qui ont tendance à freiner les échanges et réduire la collaboration.
Après le quatrième atelier, mon client le confirme : « Les élus ont participé comme jamais auparavant ! ». Et oui, casser les codesa peut s’avérer vraiment efficace.
Ça tombe bien, j’adore et j’en assume le choix. C’est aussi ça, le rôle de facilitateur : rendre possible ce que son client, trop impliqué, ne peut réaliser lui-même.
Et vous, qu’en dites-vous ? Discutons-en !